Bonjour les amies et amis du pupitre !
Dernière semaine d'Avril !
A peine commencé, le printemps est déjà bien entamé.
On l'attendait, on l'espérait et maintenant on voudrait le freiner, qu'il passe doucement.
Des petites nouvelles de la santé, puisque, si gentiment, vous en demandez !
Le covid est passé !
Chez Philippe, il n'a pas laissé de traces particulières.
Chez moi, il a été plus virulent et s'est accompagné d'allergies saisonnières, plus fortes que d'habitude !
Le masque et les protections depuis 2 ans ont fragilisé nos organismes et nos défenses immunitaires !
Je vais mieux mais ressens une grande fatigue et un fond de rhume bien handicapant.
Philippe devait se faire opérer d'un doigt à ressaut quand le covid est arrivé et l'opération n'a eu lieu que vendredi dernier.
D'ici une dizaine de jours, l'infirmière va lui retirer les fils.
Il va bien et tout va rentrer dans l'ordre maintenant, je l'espère !
Mais revenons-en à notre photo du lundi !
Pas grand chose à vous montrer car nous sortons peu !
Mais le jardin reste un paysage proche et intéressant, parfois !
Comme ici...
Un couple de perdrix est venu "marcher" sur la pelouse !
De la maison, j'ai pu photographier le superbe plumage, un brin "tartan écossais" de monsieur ou madame perdrix.
Et voici le couple , le long de la haie !
"Pour se déplacer, les perdrix piètent plus qu'elles ne volent. Quand, contraintes, elles s'envolent cependant, elles ne prennent jamais beaucoup de hauteur.
Cette phobie de l'altitude leur vient de fort loin puisqu'on raconte que Tantale, le célèbre Tantale, avait recueilli pour l'aider dans ses multiples travaux, son neveu, le jeune Perdix. Mais bientôt l'élève dépassa le maître et devint si adroit que Tantale en conçut quelque jalousie et choisit de s'en séparer.
En ces temps brutaux, pas de rupture de contrat à l'amiable, il emmena le jeune Perdix au sommet d'une tour et le précipita dans le vide. Au moment où il allait s'écraser sur le sol, Athéna le changea en perdrix et lui sauva ainsi la vie. Depuis les perdrix, qui n'ont pas une tête de linotte et se souviennent très bien de l'histoire, ne volent jamais très haut."
Je ne les ai pas entendues mais :
"La perdrix grise chante et on dit qu'elle cacabe, qu'elle glousse ou qu'elle pirouitte même si le verbe pirouitter n'a pas encore eu les honneurs de l'Académie et n'est qu'une licence onomatopéo-poétique."
Voici donc le temps du vote !
Encore ?
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A vous de voter !
Je vous souhaite une belle semaine et vous invite à prendre un petit café ensemble !
On parlera de printemps, de prés verts et de jolies bécasses !
Des semis et bourgeons et fleurs qui éclosent !
Et on parlera de poupées et de la vie d'un monde arc-en-ciel !
Bisous